Project Description

Ma pratique en consultation

Je commence la consultation par une prise de dossier étoffée car, comme dit Marc Brunson directeur du C.L.H., il n’y a qu’une seule première consultation dans laquelle j’ai accès à la biopathographie la plus complète possible de mon patient.

Ensuite je passe à la phase explicative de la consultation où j’expose par un partage interactif les différents outils afin d’augmenter son capital santé. C’est toute cette phase qui est consignée dans le guide pratique :  » Bien vivre avec soi, pour bien vivre avec les autres et avec la planète » et dans le film « Mieux Vivre Ensemble. Osons expérimenter ce champ des possibles ».

Je termine selon les cas par une manipulation ostéo-acupuncturale et/ou la recherche du remède homéopathique dont mon patient est redevable. Puis je propose une aide à l’intégration des différents outils par un accompagnement spécifique selon la situation.

 


Manipulation Ostéo-Acupuncturale

Qu’est-ce que l’Ostéopathie ?

Créée le 22 juin 1874 par le médecin américain Andrew Taylor Still (1828-1917), l’ostéopathie est fondée sur des techniques manuelles visant à la conservation ou la restauration de la mobilité des différentes structures de l’organisme. Méthode thérapeutique à visée préventive et curative, elle se base sur l’idée selon laquelle toute perte de mobilité naturelle des organes les uns par rapport aux autres qui apparaît au niveau des muscles, des tendons, des viscères, du crâne ou des enveloppes (fascia), induit des dysfonctionnements et l’apparition potentielle de symptômes.
L’ostéopathie a pour but de restaurer le libre mouvement entre les différentes structures qui composent notre corps ou celui des animaux. Les articulations bien sûr, mais aussi mouvement entre les organes, mouvement entre le squelette et les tissus environnants.
Elle traite de la relation entre la structure et la fonction (coordonnées par le système nerveux) et de la manière dont cette relation affecte la santé.

La manipulation de la langue du cheval

Sujet de mon mémoire pour le D.U. de Médecine Manuelle Ostéopathique

Qu’est-ce que l’Acupuncture ?

La Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), dont l’élaboration est généralement datée de 1250 ans av. J.-C, est fondée sur une théorie du fonctionnement de l’être humain en bonne santé, d’un point de vue physiologique, psychologique, anatomique, etc. J’aime également à rappeler qu’ancestralement, le médecin en Chine était rémunéré tant que ses patients étaient en bonne santé.
L’une des notions fondamentales que la MTC m’a permis d’acquérir est que toute émotion qui n’est pas exprimée, s’imprime en nous et dans nos organes. Chaque organe est le réceptacle d’une émotion particulière, par exemple : le foie est le réceptacle de la colère sous ses différentes formes et intensités.
Elle tente également d’expliquer les causes des maladies et les mécanismes biologiques et psychiques qui en sont les conséquences. La MTC cherche à comprendre l’être humain, aussi bien en bonne santé que malade, par une gestion de l’équilibre de l’énergie interne appelée Qi en agissant au besoin sur des points pour libérer l’énergie.
Pour expliquer simplement son fonctionnement, j’illustre l’acupuncture avec l’électricité. C’est comme si chaque organe dans le corps était une lumière. Une lumière est reliée au circuit électrique pour lui apporter l’électricité. Chaque organe, quant à lui, est relié à un circuit énergétique ou méridien d’acupuncture qui porte le nom de l’organe auquel il est associé. Sur ce méridien, il y a différents points comme il peut y avoir plusieurs interrupteurs pour contrôler une même lumière.

Pourquoi associer ostéopathie et acupuncture ?

L’ostéopathie et l’acupuncture ont une même visée de rétablir la circulation énergétique. J’associe fréquemment à la manipulation ostéopathique des points d’acupuncture pour aider à retrouver l’équilibre et une libre mobilité des organes.

Homéopathie

1796 est la date de naissance de l’homéopathie quand Samuel Hahnemann publie « Essai sur un nouveau principe pour découvrir les vertus curatives des médicaments ». Quelques années plus tard dans l’Organon, il énonce clairement la loi des semblables qui est le trait d’union manquant entre maladie et traitement : « toute substance susceptible expérimentalement de provoquer chez un individu sain toute une série de symptômes est capable de guérir un malade présentant les mêmes symptômes. »
Pour Hahnemann, l’être humain ou plutôt l’être vivant, est un tout, corps et esprit indissolublement unis ; la vie n’est possible que par une force qui fait fonctionner harmonieusement cet ensemble. Hahnemann l’appelle l’énergie ou force vitale .
Un être vivant, c’est un cadavre avec une force qui l’anime.
Cette force vitale est immatérielle, non mesurable, et pourtant, elle existe, comme existent l’électricité, l’amour ou la haine, qui sont invisibles
Pour Hahnemann, la maladie est une perturbation de cet équilibre, de cette harmonie ; la maladie est elle-même immatérielle, non mesurable, si ce n’est par l’observation de tous les symptômes (surtout ceux qui sont personnels à l’individu).
Elle est comme la vie, de nature énergétique.
Pour Hahnemann, l’origine de la maladie se trouve dans l’interaction de deux phénomènes qu’il différencie nettement :
-une cause fondamentale : c’est la prédisposition, la faille dans l’équilibre de la force vitale (terrain), cf. maladies chroniques. Appelons-la : fragilité endogène qui détermine la capacité pathologique.
-Des circonstances ou occasions : froid – chagrin – microbes, ces facteurs extérieurs ne sont que des révélateurs d’une disposition morbide existante à l’état plus ou moins latent chez l’individu. Par exemple angines à répétition et Streptocoques.

« Dans le monde vivant, la matière n’est presque rien, c’est l’énergie qui compte. » : cette citation est d’Hahnemann et non d’Einstein.

Si l’énergie vitale est de nature immatérielle, si la maladie est de nature immatérielle, l’homéopathe (Hahnemann le premier) trouve tout à fait normal que le remède puisse, aussi, être immatériel (c’est à dire, au stade actuel de nos connaissances, au-delà du nombre d’Avogadro (entre 11 et 12 CH)). Donc, l’emploi des hautes dilutions ne pose pas de problème. Attention, immatériel ne signifie pas spirituel mais de nature énergétique, par exemple électromagnétique. Pour appuyer ces propos, je vous laisse découvrir en cliquant sur le lien, le film documentaire diffusé le 5 juillet 2014 par France 5 « On a retrouvé la mémoire de l’Eau » qui illustre les travaux du professeur Luc Montagnier reprenant ceux de Jacques Benvéniste.

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